Top 6 des pays européens les plus faciles à obtenir un visa de nomade numérique en 2025

Si vous êtes un travailleur à distance et que vous envisagez de vivre en Europe, un visa de nomade numérique est l'un des moyens les plus simples d'y parvenir en toute légalité. 

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Mais tous les visas ne sont pas identiques. Dans certains pays, la procédure est simple et les coûts gérables. 

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Voici six pays européens qui offrent les visas de nomades numériques les plus faciles et les plus accessibles en 2025.

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1. Albanie : des formalités administratives faciles et des loyers peu élevés

Le visa de nomade numérique de l'Albanie, appelé "permis unique", est disponible entièrement en ligne sur le portail e-Albania. 

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Les frais de dossier dépendent du permis que vous demandez et la procédure est simplifiée. Les citoyens américains bénéficient déjà d'une exemption de visa pour un an, mais ce permis offre une voie officielle pour les séjours prolongés et les renouvellements.

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Aucune condition de revenu n'est fixée par la loi, mais les fonctionnaires suggèrent un objectif d'environ 816 euros par mois. 

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Vous pouvez renouveler votre visa chaque année, pour une durée maximale de cinq ans, et demander ensuite la résidence permanente. 

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Le coût de la vie est l'un des plus bas d'Europe, le loyer d'une chambre à Tirana se situant entre 400 et 700 euros et les dépenses mensuelles entre 1 200 et 1 500 euros. 

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La vitesse de l'internet dans les villes est en moyenne de 80 Mbps.

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L'Albanie n'impose pas les revenus étrangers pendant la première année du visa, ce qui en fait un point d'entrée abordable pour les nouveaux nomades.

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2. Croatie : Procédure en ligne facile et pas de taxes

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La Croatie vous permet de déposer votre demande entièrement en ligne, avec des délais de traitement généralement compris entre 2 et 4 semaines. Aucune visite à l'ambassade n'est nécessaire. 

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Le revenu requis est d'environ 2 360 euros par mois ou un montant forfaitaire de 28 000 euros pour un séjour de 12 mois. 

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Le visa nomade est valable 12 mois et vous pouvez le prolonger de 6 mois pour un total de 18 mois. Après cela, vous devez quitter l'espace Schengen pendant 90 jours avant de déposer une nouvelle demande.

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Le coût de la vie mensuel varie de 1 200 euros à Zagreb à plus de 2 000 euros dans les villes côtières comme Split et Dubrovnik pendant l'été. 

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L'Internet est fiable, avec des vitesses moyennes de l'ordre de 90 Mbps. 

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La Croatie n'impose pas les revenus étrangers des nomades numériques et le pays offre un réseau de soutien croissant grâce à des initiatives telles que DNA Croatia.

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3. Hongrie : Processus rapide 

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Si vous envisagez de participer au programme de la carte blanche hongroise, voici ce qu'il faut savoir. 

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Vous devrez vous rendre en personne dans un consulat hongrois pour déposer votre demande - c'est incontournable - mais la bonne nouvelle, c'est que la demande elle-même est simple. La plupart des gens obtiennent leur accord en un mois environ.

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Le revenu requis est de 2 000 euros par mois, et vous devrez prouver que vous avez atteint ce seuil de façon constante au cours des six derniers mois. Il peut s'agir de relevés bancaires, de lettres d'embauche ou de contrats avec des clients - tout ce qui peut prouver la régularité de vos revenus.

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Une fois approuvé, votre visa dure une année entière et vous pouvez le renouveler une fois pour une autre année. Cela vous laisse deux années entières pour tâter le terrain et voir si la Hongrie vous convient.

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En ce qui concerne les essais, Budapest a des avantages. Les débits Internet sont impressionnants - on parle d'environ 212 Mbps, ce qui signifie que vos appels Zoom ne seront pas coupés au milieu d'une phrase. 

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Et votre portefeuille vous en remerciera également. La plupart des gens estiment qu'ils peuvent vivre confortablement avec environ 1 369 dollars par mois, ce qui couvre tout, du loyer à la consommation quotidienne de café.

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Une dernière chose à garder à l'esprit : La Hongrie n'imposera pas vos revenus étrangers à moins que vous ne restiez plus de 183 jours par an. 

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Si vous franchissez ce seuil, vous devenez résident fiscal, ce qui vaut la peine d'être planifié si vous conservez des sources de revenus dans votre pays d'origine.

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4. Malte : Demande rapide et entièrement en ligne

Le permis de séjour pour nomades de Malte est entièrement numérique. Vous soumettez vos documents par courrier électronique et le processus peut être achevé en un mois environ. 

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Le revenu requis est de 3 500 euros par mois. Le visa est valable un an et renouvelable jusqu'à trois ans.

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Le coût de la vie est plus élevé, le loyer et les charges s'élevant généralement à environ 1 590 euros par mois. 

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Toutefois, le système fiscal maltais basé sur les transferts de fonds permet à la plupart des nomades numériques d'éviter les impôts locaux s'ils n'apportent pas l'ensemble de leurs revenus dans le pays. 

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L'internet a une vitesse moyenne de 148 Mbps et l'anglais est largement parlé.

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5. Portugal : exigences élevées, potentiel à long terme

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Le visa de nomade numérique D8 du Portugal implique un traitement par le consulat et un rendez-vous avec l'immigration (AIMA) à l'arrivée. 

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Vous devez gagner au moins 3 480 euros par mois et la procédure peut durer de 2 à 4 mois.

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Le visa donne droit à un permis de séjour d'un an et peut être renouvelé pour une durée maximale de cinq ans. 

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Ensuite, vous pouvez demander la résidence permanente ou la citoyenneté. 

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Lisbonne et Porto ont un coût de la vie élevé (environ 2 200 €/mois), mais d'excellentes infrastructures, une connexion internet rapide (206 Mbps) et d'importantes communautés de nomades.

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Le Portugal avait l'habitude d'offrir des taux d'imposition plus bas grâce à son programme de résidents non habituels (RNH). Toutefois, ce programme a pris fin et les nomades numériques peuvent désormais être soumis à des taux d'imposition compris entre 45 % et 48 %, en fonction de leurs revenus.

6. Espagne : Accessible aux salariés, fortes incitations fiscales

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Le nouveau visa espagnol pour le travail à distance vous permet d'introduire votre demande depuis l'Espagne ou par l'intermédiaire d'un consulat. 

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Le revenu requis est d'environ 2 334 euros par mois. Le visa est valable un an, avec la possibilité de le renouveler jusqu'à cinq ans au total.

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L'Espagne propose la "loi Beckham", un régime fiscal qui permet aux salariés (et non aux indépendants) de payer un impôt forfaitaire de 24 % uniquement sur les revenus d'origine espagnole, à l'exclusion des revenus étrangers. 

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L'internet est rapide (246 Mbps) et le coût de la vie varie selon les régions, de 1 400 euros par mois à Valence à 2 500 euros à Madrid.

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Comment rester connecté en voyageant

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Un problème pratique que de nombreux nomades numériques négligent est celui des données mobiles. 

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Changer de carte SIM dans chaque pays est peu pratique et inutile. 

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GigSky propose des forfaits eSIM qui fonctionnent dans 42 pays européens, dont le Royaume-Uni, la Turquie et Chypre. 

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Avec des forfaits de données allant de 100 Mo à 100 Go et des options illimitées pour les séjours de courte durée, GigSky vous permet de rester en ligne sans avoir à gérer plusieurs eSIM.

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Si vous prévoyez de vous déplacer entre l'Albanie, la Croatie, l'Espagne et d'autres pays, le fait d'avoir une carte eSIM qui fonctionne partout réduit les frictions. Vous l'installez une fois et vous êtes prêt pour tout le voyage.

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Pour l'été 2025, GigSky offre 500MB de données gratuites avec les plans eSIM Europe, essayez-le maintenant et restez connecté sans effort à travers le continent. 

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Pour récapituler...

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Les visas nomades les plus faciles à obtenir en Europe ne se trouvent pas toujours aux endroits les plus évidents. 

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L'Albanie, la Croatie et la Hongrie offrent des procédures simples et des coûts gérables. Malte offre commodité et flexibilité fiscale. 

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Le Portugal et l'Espagne conviennent mieux aux nomades qui souhaitent s'installer durablement en Europe.

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Le choix du bon pays dépend de votre niveau de revenu, de votre mode de vie préféré et du fait que vous envisagiez un déménagement à court terme ou permanent. 

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Avec le bon visa de nomade numérique et le bon plan de connectivité, travailler à distance en Europe en 2025 peut être à la fois sûr sur le plan juridique et épanouissant sur le plan personnel.